Incroyable mais vrai : la France abandonne la production de batteries pour miser sur les nanotubes de carbone, la révolution énergétique made in Provence

Incroyable mais vrai : la France abandonne la production de batteries pour miser sur les nanotubes de carbone, la révolution énergétique made in Provence

Dans un coin ensoleillé de la Provence, là où les cigales battent la mesure et où l’huile d’olive coule à flots, une révolution énergétique se prépare, aussi discrète qu’une partie de pétanque dans un village endormi. Oubliez les batteries lithium-ion, ces dinosaures énergétiques qui ont pourtant envahi nos téléphones, voitures électriques et autres trottinettes urbaines. La nouvelle coqueluche technologique française s’appelle… les nanotubes de carbone verticalement alignés. Oui, rien que ça. Et c’est NAWAH, une start-up aussi audacieuse qu’un apéro prolongé à Marseille, qui tient la baguette de cette symphonie carbonée.

Nanotubes de carbone alignés comme une armée miniature


Une armée de spaghettis high-tech made in Provence

Imaginez un instant une assiette de spaghettis froids. Pas très appétissant ? Pire encore : imaginez que ces spaghettis, parfaitement dressés, s’alignent au micron près comme une armée de mini-commando prêts à stocker de l’énergie. Voilà à quoi ressemblent les nanotubes de carbone verticalement alignés, ou VACNT pour les intimes de la science. Ces « spaghettis » sont produits en tapis de 90 cm de large, double face, une prouesse industrielle qui fait déjà tourner la tête des investisseurs et des industriels.

Tapis de nanotubes de carbone - une innovation prometteuse

Face à la pénurie mondiale de lithium, aux scandales écologiques autour de son extraction, et aux batteries qui finissent souvent dans la nature à faire pousser des mauvaises herbes, NAWAH propose un avenir plus vert et plus sexy… enfin, façon nanotube.


Pourquoi jeter les batteries aux orties ?

L’industrie française, longtemps accrochée à la production de batteries lithium-ion, doit se rendre à l’évidence : c’est un système devenu aussi obsolète que le Minitel. NAWAH, grâce à ses cent brevets – un exploit quand on sait qu’on compte plus de brevets que d’habitants en Provence – propose une alternative radicale. Ces nanotubes promettent un stockage d’énergie bien plus efficace, une légèreté qui ferait pâlir un apiculteur et une durabilité à toute épreuve, même contre le mistral provençal.

Brevet et recherche active, une équipe franco-américaine

En partenariat avec Saft, filiale de TotalEnergies spécialisée dans les batteries (vous savez, ceux qui aiment bien quand ça chauffe), NAWAH s’apprête à déployer ses tapis nanotubés dans les secteurs les plus variés : aéronautique, électronique embarquée, hydrogène, énergie renouvelable. Même votre grille-pain pourrait, un jour, stocker son énergie grâce à ces spaghettis high-tech made in Provence. Finies les grosses batteries qui pèsent un âne mort !


Un écosystème franco-américain : la start-up qui fait le pont (et le spaghetto)

NAWAH a la tête en Provence et les pieds (très solides) aux États-Unis, avec un site à Dayton, Ohio. Cette alliance transatlantique permet une circulation rapide des innovations et des idées, une sorte de TGV scientifique qui traverse l’Atlantique à grande vitesse. L’objectif ? Devenir le leader mondial du stockage d’énergie de nouvelle génération, en écrasant au passage la vieille industrie des batteries lithium-ion.

Equipe dynamique franco-américaine NAWAH

Mais attention, cette double implantation ne plaît pas à tout le monde. Certains patriotes de la tech française craignent une dilution de la souveraineté énergétique dans un grand melting-pot américain. D’autres, plus pragmatiques, saluent la stratégie d’ouverture et de coopération comme une bouffée d’air frais dans le climat parfois étouffant de la recherche nationale.


Enjeux, controverses et spaghettis politiques

Économiques

Le remplacement des batteries par les nanotubes risque de chambouler toute une filière bien ancrée, des mines de lithium aux usines d’assemblage. Un séisme industriel à la hauteur du mistral qui balaie la lavande en été. Mais cette disruption pourrait aussi propulser la France au rang de superpuissance énergétique, et ça, c’est bon pour le pinard local (et pour nous tous).

Écologiques

Fini le cocktail cocktail détonant des mines polluantes et du recyclage chaotique. Les nanotubes promettent une empreinte carbone réduite, et même une possibilité de recycler à l’infini ces petites merveilles. Une véritable bouffée d’oxygène pour notre planète, à condition que les cigales ne se rebellent pas.

Politiques

Jean-Pierre Troc, analyste en technologies vertes (qui n’a pas encore un brevet mais y travaille fort), martèle : « Cette technologie est un véritable game-changer, elle pourrait redéfinir la souveraineté énergétique française ». Et il ajoute, d’un air sérieux : « Nous serons bientôt les champions du monde du nanotube, juste après le fromage et le vin. » Une ambition qui sent bon la lavande et le soleil méditerranéen, mais qui soulève aussi la question : les automobilistes français, habitués aux gros moteurs et aux batteries qui chauffent, accepteront-ils de troquer leurs piles contre une armée de spaghettis high-tech ?


Une batterie bientôt remplacée par un tapis de nanotubes?


Conclusion qui donne la patate… ou la pâte

Entre deux parties de pétanque, la France pourrait bien écrire une nouvelle page de son histoire industrielle, en misant sur les nanotubes de carbone. NAWAH, cette start-up provençale devenue espionne énergétique franco-américaine, incarne l’innovation disruptive au cœur d’un pays qui aime à se réinventer, même si cela passe par l’abandon des batteries au profit de ces mystérieux spaghettis technologiques.

Alors, bientôt, nos smartphones, nos voitures, et même nos fours à pizza fonctionneront grâce à ces tapis nanotubés, et on pourra enfin dire que la France a inventé la batterie spaghetti. À consommer sans modération, mais toujours avec un bon verre de rosé.


Références


Article satirique inspiré des dernières innovations high-tech françaises, à savourer avec humour et prudence.