
Incroyable mais vrai : François Bayrou supprime deux jours fériés pour sauver la France… et son autobiographie
Paris, le 16 juillet 2025 — Dans un geste qualifié unanimement de « moment de courage » par ses amis macronistes, le Premier ministre François Bayrou a annoncé hier la suppression de deux jours fériés non chômés mais payés. Une mesure qui, officiellement, doit renflouer les caisses publiques à hauteur de 4 milliards d’euros. Officieusement, ce serait surtout une manœuvre savamment orchestrée pour écrire sa propre légende politique, à grands coups de sacrifices nationaux… et d’autobiographie.
« Le Premier ministre qui a osé » : une biographie pleine de trous
« C’est un sacrifice nécessaire pour la nation », a affirmé Bayrou lors d’une conférence de presse solennelle, le regard mi-perçant mi-désabusé. Lorsqu’on lui a demandé ce qui le motivait véritablement, notre homme n’a pas hésité à confier, en petit comité : « Je vais profiter de ce moment historique pour écrire ma biographie, déjà intitulée Le Premier ministre qui a osé. »
Un titre qui promet, puisqu’il met déjà la barre à hauteur des grandes figures historiques qui ont marqué la France, comme Jeanne d’Arc ou Napoléon… oubliant au passage que ces derniers n’avaient pas à gérer un déficit public à 43,8 milliards d’euros ni à provoquer une grève générale des jours fériés.
Syndicats et opposition : le front commun du ras-le-bol
Du côté des syndicats, la colère gronde. Sophie Binet, la redoutable secrétaire générale de la CGT, a fustigé ce qu’elle qualifie d’« attaque frontale contre les acquis sociaux ». Elle met en garde contre une « dérive qui pourrait embraser le pays, au pire moment, à l’approche des municipales de 2026. »
L’opposition, elle, ne décolère pas. Marine Le Pen, présidente du Rassemblement National, a déclaré :
« En l’état, il est impossible pour le RN de ne pas censurer ce gouvernement. Nous ne pouvons pas laisser passer cette nouvelle austérité, déguisée en acte de bravoure. »
Jean-Luc Mélenchon et ses troupes insoumis menacent également une motion de censure. Les débats promettent d’être aussi houleux qu’un épisode de Plus Belle La Vie, avec des coups bas en moins mais une dramaturgie politique en plus.
Quand la suppression des jours fériés devient une œuvre littéraire
Le sociologue fiscaliste Émile Grincheux, connu pour son franc-parler, ne mâche pas ses mots :
« Bayrou écrit son autobiographie en jours fériés supprimés, une œuvre monumentale sur le sacrifice social, un véritable roman national de l’austérité. La bureaucratisation du temps libre atteint un sommet absurde. »
Un constat partagé, qui souligne que derrière cette mesure se cache une stratégie de communication visant à immortaliser le Premier ministre dans les annales, quitte à sacrifier la joie (et la sieste) des Français.
Une consultation éclair... pour calmer le peuple (ou du moins essayer)
Face à la levée de boucliers, François Bayrou a annoncé un cycle de consultation éclair destiné à « apaiser les tensions » tout en martelant que « la France doit avancer, même au prix de quelques jours sans repos ». Une source proche du dossier a confié au Gorafi :
« On parle de jours fériés, mais en réalité, c’est une opération de communication pour que Bayrou reste dans les livres d’histoire. »
Foire aux questions : sourire ou taxe sur les sourires ?
La population, quant à elle, s’interroge. Comment faire pour compenser la perte de ces deux journées de congé ? Certains évoquent déjà l’instauration d’une taxe sur les sourires, histoire de compenser la perte de joie, dans la droite ligne des « taxes émotionnelles » qui fleurissent récemment en France.
Experts et citations
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Émile Grincheux, sociologue fiscaliste :
« La bureaucratisation du temps libre atteint un sommet absurde. » -
Sophie Binet, CGT :
« Ce budget est injuste, inefficace et dangereux pour le pays. » -
Marine Le Pen, présidente du RN :
« Nous ne pouvons pas laisser passer cela sans réaction. »
Analyse finale : le sacrifice social, ce roman national en sursis
Si la suppression de deux jours fériés est présentée comme un acte de courage politique, la réalité est sans doute plus cynique : un Premier ministre en quête de postérité qui sculpte son image au burin des sacrifices imposés. Le paradoxe ? Cette austérité, censée sauver la France, sème les graines d’un feu social qui pourrait brûler plus fort que ses ambitions littéraires — surtout à l’aube des municipales de 2026.
Entre courage et calcul, François Bayrou semble avoir choisi : il sacrifiera volontiers deux jours de détente pour que l’on se souvienne de lui. Reste à savoir si les Français seront prêts à en faire autant.
Et si la suppression des jours fériés devenait le nouveau roman national ?
Sources officielles :