Incroyable mais vrai : la France forme des orques consultants en management pour remplacer les coachs humains en entreprise

Incroyable mais vrai : la France forme des orques consultants en management pour remplacer les coachs humains en entreprise

Paris, 15 juillet 2025 — Dans une manœuvre qui fera plonger plus d’un dans un océan d’interrogations, la France a dévoilé ce matin le programme ORC'MAN (ORque Consultant MANagement), une initiative audacieuse, écologique et, disons-le, un brin trempée d’originalité. Derrière cet acronyme aux allures de titre de film de science-fiction, se cache une révolution managériale : former des orques en consultants en management, histoire de faire nager la concurrence à contre-courant.

Orques consultants en management

Des orques aux commandes : quand les patrons plongent

Fruit d’un partenariat inédit entre le CNRS, le gouvernement français et plusieurs start-ups innovantes, ce projet vise à confier les clés du management moderne à des mammifères marins qui, selon le Dr Jean-Baptiste Marin, coordinateur scientifique, « possèdent une capacité naturelle à travailler en équipe et à coordonner leurs actions, ce qui en fait des modèles parfaits pour le management moderne. »

Équipés de micro-casques étanches dernier cri, capables de traduire en temps réel leurs chants gutturaux en langage humain — ou au moins en jargon managérial — ces orques apprendront à pratiquer l’agilité, la résolution de conflits et la conduite de réunions. Tout cela sans jamais réclamer de RTT, de tickets-resto ou de pause café. Une aubaine pour les entreprises en quête de rentabilité et de réduction des coûts salariaux.

Séminaire bulles et bienveillance

Bulles et bienveillance : la nouvelle vague du coaching aquatique

Le programme prévoit même des séminaires baptisés « bulles et bienveillance », où humains et orques partageront des ateliers aquatiques, des séances de team building en bassin chauffé, et des simulations de réunions où les orques prendront la parole via des traducteurs vocaux. Les bureaux sont donc invités à se métamorphoser en aquarium géant — un détail qui réjouit déjà les décorateurs d’intérieur et inquiète les syndicats du bâtiment.

Cette initiative s’inscrit dans la stratégie « France 2030 » et vise à réduire l’empreinte carbone des entreprises, puisque les orques ne consomment pas d’essence, ne prennent pas l’avion, et surtout, ne polluent pas l’atmosphère avec des plaintes syndicales.

Orque consultant à la réunion

Les humains en eaux troubles

Bien sûr, tout le monde ne partage pas cet enthousiasme aquatique. Le Syndicat national des consultants humains (SNCH) dénonce une « déshumanisation du conseil » et craint pour l’avenir des métiers du coaching. « Quelle place pour les coachs humains quand des orques synchronisent naturellement leurs équipes ? » s’interroge Anne-Laure Vanneau, sociologue spécialisée en éthique animale-appliquée-au-monde-entreprise.

De leur côté, les orques, interrogés par nos soins — ou plutôt observés à travers les vibrations de leurs chants — semblent parfaitement indifférents à ces critiques. Leur seule préoccupation manifeste : la qualité des sardines servies pendant les pauses (qu’ils n’auront pas).

Et ce n’est que le début : dauphins et tortues à l’horizon

Fort du succès anticipé d’ORC’MAN, le gouvernement français envisage déjà d’exporter le concept à l’international. Les prochaines étapes ? Former des dauphins en coachs stratégiques pour le secteur commercial, et des tortues comme conseillers en gestion du temps — ces dernières excelleront certainement dans la gestion des projets à long terme, même si elles n’empêcheront pas les retards.

Un avenir où les open-spaces se transformeront en écosystèmes marins, où les powerpoints seraient projetés sous l’eau et où les « team buildings » consisteraient à faire du surf sur les vagues du management.

Aquarium géant en entreprise

Et si les orques faisaient taire les réunions interminables ?

Un expert en ressources humaines, qui préfère garder l’anonymat (probablement pour éviter d’être remplacé par une baleine blanche), ironise :

« Les orques ne prennent jamais de pause, ne font pas grève, et leur synchronisation naturelle pourrait bien faire taire les réunions interminables. Après tout, si ça marche pour les cétacés, pourquoi pas pour les humains ? »

Un futur où les managers humains, au bord de l’eau, observeront leurs nouveaux supérieurs marins avec un léger sentiment d’aquaphobie professionnelle.


Sources et références :


Note : Aucune orque n’a été maltraitée dans la rédaction de cet article. En revanche, certains coachs humains pourraient retrouver leur bureau... vide.