La France face à la menace russe : quand le général Burkhard tire la sonnette d’alarme… mais pas trop fort
Vendredi 11 juillet 2025, dans le cadre d’une conférence de presse aussi attendue qu’un épisode de série Netflix en pleine canicule, le chef d’état-major des armées, le général Thierry Burkhard, a officiellement confirmé ce que tout le monde savait déjà : la Russie a décidé de faire de la France… une cible prioritaire. Oui, vous avez bien lu, nous sommes sur la liste VIP du Kremlin, juste après l’Ukraine et avant la petite boulangerie du coin. Une distinction dont le pays peut s’enorgueillir, à condition d’avoir le sens de l’humour.
Une menace « durable », mais pas trop
Le général Burkhard a été très clair : la Russie ne plaisante pas, et sa stratégie de guerre d’usure ne s’arrête pas aux frontières ukrainiennes. La France, au cœur de l’Europe, est désormais dans le viseur de Moscou. Mais ne paniquez pas ! Il s’agit d’une menace « durable », ce qui veut dire que nous avons le temps… le temps de continuer à discuter, à débattre, à organiser des conférences, à préparer des plans, bref, à faire ce que nous savons faire de mieux dans notre douce démocratie.
Les vecteurs d’attaque sont multiples, allant de la désinformation – parce que, soyons honnêtes, on a déjà l’habitude avec certaines chaînes de télé – aux cyberattaques qui ciblent soigneusement hôpitaux, PME et collectivités locales. Pour sûr, rien de tel qu’un plantage du serveur informatique pour pimenter une réunion municipale.
La Chine et l’Iran, invités surprises du cocktail explosif
La Russie n’est pas seule dans ce ballet géopolitique digne d’un film d’espionnage à pas cher. Le général nous rappelle avec délicatesse que la Chine et l’Iran jouent aussi les trouble-fêtes, histoire de ne pas laisser la vedette au seul Vladimir. Le monde multipolaire, c’est un peu comme une soirée où tout le monde parle en même temps, sauf que là, c’est avec des missiles et des hackers.
Mais rassurez-vous, la France bénéficie de sa dissuasion nucléaire – cette fameuse épée de Damoclès que nous brandissons avec nonchalance, entre un discours sur la paix et une augmentation du budget défense. De plus, notre position géographique, située après la Belgique et avant l’Espagne, limite « le risque d’attaque directe majeure ». En clair, « volez bas et évitez la zone », la France est un peu comme ce voisin grincheux que personne n’a vraiment envie d’embêter… sauf que lui, il a des missiles.
Macron prépare l’annonce : service militaire 2.0 et budget en mode inflation
Dans les coulisses du palais de l’Élysée, Emmanuel Macron s’apprête à dévoiler des mesures « importantes » pour renforcer notre défense nationale. Parmi elles, un potentiel retour partiel du service militaire, version 2.0, avec cours de TikTok, survie en milieu hostile (c’est-à-dire Paris-centre un samedi soir) et formation accélérée au lancer de gilets jaunes. Ambiance garantie.
Parallèlement, le budget défense va connaître une augmentation, parce que, comme dirait un économiste en vacances, « la sécurité n’a pas de prix, mais elle coûte ». La bonne nouvelle, c’est que ce surcoût sera financé par les économies à venir sur d’autres postes… sans préciser lesquels. On imagine déjà la suppression progressive des pauses café chez les soldats.
Analyse : la guerre d’usure… d’attention
Cette annonce arrive à point nommé alors que la France fait face à une multitude d’enjeux internes : réforme de l’audiovisuel public, tensions budgétaires, élections municipales et débats sur les caméras de surveillance. Une aubaine pour capter l’attention des citoyens, qui peuvent désormais choisir entre s’inquiéter des cyberattaques russes ou du dernier débat houleux à l’Assemblée.
Mais le général Burkhard, fidèle à son rôle, insiste sur la nécessité d’une stratégie adaptée aux « menaces hybrides et durables ». Traduction : il va falloir apprendre à vivre avec un cocktail permanent de fake news, d’intrusions numériques et de brouillages satellites, tout en continuant à se demander quel est le vrai prix du pain.
Conclusion : la France, cible prioritaire… du suspense
En définitive, la France figure officiellement sur la liste des cibles prioritaires de la Russie, ce qui confère à notre pays un statut prestigieux dans la guerre d’usure. Mais pas de panique, la dissuasion nucléaire, la position géographique et la promesse d’un retour du service militaire 2.0 nous garantissent une défense à la fois vintage et high-tech.
Comme dirait le général Burkhard : « La menace est là, mais nous sommes prêts. Enfin, presque prêts. Enfin, on fait ce qu’on peut. » Et c’est bien là tout le charme de notre belle armée, prête à défendre la patrie… entre deux pauses café, avec élégance et un brin d’ironie.
Pour en savoir plus sur ce suspense haletant, consultez les articles :
- BFMTV - Le chef d’état-major tire la sonnette d’alarme
- Public Sénat - La France cible prioritaire de la Russie