
Exail Technologies : la France invente la flotte de drones marins autonomes qui fait trembler les océans (et les budgets)
Par Le Gorafi – 10 juillet 2025
Un matin de juillet, au cœur d’un bureau futuriste quelque part en France, un écran clignote : « Nouveau marché signé — flotte complète de drones marins DriX pour mission de surveillance ». L’information tombe comme un pavé dans l’océan… financier. Exail Technologies, anciennement connu sous le nom de Groupe Gorge (non, on ne rigole pas), s’impose désormais comme le capitaine incontesté des flottes robotiques autonomes qui patrouilleront bientôt nos mers, et surtout, nos portefeuilles.
« Nous entrons dans une nouvelle ère où la mer sera surveillée par des sentinelles silencieuses, infatigables et, surtout, sans revendications salariales. » — PDG d’Exail Technologies, version robotique et impitoyable.
DriX, les nouveaux gardiens des océans… sans café ni pause pipi
Alors que la marine française voyait encore ses matelots s’adonner à la traditionnelle dégustation de café à bord tout en surveillant l’horizon, la donne change radicalement. Place aux drones DriX, machines autonomes capables de patrouiller les mers, détecter les menaces, neutraliser les mines sous-marines — et selon une source très bien informée, faire du café si un programmeur motivé s’en mêle.
Le professeur Jacques Marin, éminence grise de la géopolitique navale, analyse avec le sérieux d’un mousse en pleine tempête :
« Ces drones sont la réponse française à la montée des tensions dans l’Indo-Pacifique, mais aussi un moyen élégant de justifier des budgets militaires qui feraient pâlir un ministre des Finances. »
On imagine déjà les débats animés au ministère : « Faut-il d’abord financer des écoles ou une flotte autonome capable de détecter un poisson rebelle ? » La réponse semble pencher vers le second.
Une flotte sans syndicats, ni RTT, ni grèves à l’horizon
Les syndicats maritimes s’alarment déjà. « Si demain, un drone de surface remplace le marin, qui fera la grève ? » s’interroge Jean-Michel Piquet, délégué CGT de la Marine nationale. « Et surtout, qui fera le café ? » ajoute-t-il, les yeux embués.
Car la grande force d’Exail Technologies, c’est justement cette absence d’exigences sociales. Les DriX ne réclament ni 35 heures, ni prime de panier, ni augmentation. Une aubaine pour le budget défense, mais une douloureuse nouvelle pour les amateurs de pauses café bien méritées.
UMIS, la petite sœur sous-marine qui fait le boulot
Le programme DriX s’inscrit dans la continuité du système UMIS (Unmanned Mine Interception System), déjà éprouvé dans la lutte contre les mines sous-marines, notamment en Indonésie. Là où un marin aurait frissonné à l’idée de s’approcher d’une mine, la machine, elle, fait le job en mode robot zen, sans trembler.
Un initié proche du dossier confie dans un souffle (presque un secret) :
« On parle d’une flotte capable de détecter, neutraliser, et — cerise sur le drone — faire le café si on lui programme bien… »
La promesse d’un futur où la guerre sera menée par des machines aussi efficaces que des baristas aguerris, mais bien moins bavards.
Le rachat d’actions, ou comment rassurer les investisseurs en pleine mer agitée
Pendant que la flotte DriX vogue vers l’horizon, Exail Technologies ne néglige pas ses actionnaires. Un programme de rachat d’actions a été lancé, histoire de rassurer les financiers en pleine tempête boursière. Après tout, rien de tel qu’une bonne poignée d’actions retirées pour faire remonter la côte… et faire oublier la dure réalité : ces drones coûtent un bras — et parfois deux.
Une excellence française entre haute technologie et haute dépense
Exail incarne ce paradoxe français : une excellence technologique indéniable, alliée à une architecture industrielle qui mélange guerre, finance et innovation dans un ballet aussi fascinant qu’absurde. La France investit massivement dans des soldats sans âme ni revendications sociales, pendant que les véritables marins regardent la mer avec un petit pincement au cœur… et une tasse de café oubliée sur le pont.
Pour finir, un analyste financier, pince-sans-rire, lâche :
« Quand la mer devient un terrain de jeu pour robots, il ne reste plus qu’à espérer que les poissons ne se mettent pas à réclamer des droits syndicaux. »
Parce qu’en 2025, même les océans ont droit à leur révolution automatisée. Restez connectés, la prochaine étape pourrait bien être la livraison de croissants par drone sous-marin.
Sources et références :
- Exail Technologies décroche une flotte de drones DriX
- Programme de rachat d’actions Exail
- Exail et le système UMIS en Indonésie