
Référendum sur le Budget : François Bayrou Propose une Idée Loufoque qui Fait Sauter les Plafonds !
Dans un élan audacieux de démocratie participative à faire pâlir d’envie les plus grands réalisateurs de cinéma d’action, le Premier ministre François Bayrou a récemment lancé l'idée d'un référendum sur le budget de l'État. « La clé du retour à l'équilibre des finances publiques », a-t-il déclaré avec la conviction d'un chef d'orchestre à la recherche de sa baguette, tout en sachant pertinemment qu'il s'agit d'une symphonie de hurlements entre coupes budgétaires et augmentations d'impôts.
Les experts, tels des spectateurs perplexes d'une pièce de théâtre absurde, se demandent si les citoyens français sont réellement capables de voter de façon éclairée sur des sujets aussi techniques. Jean-François Husson, sénateur des Républicains et grand amateur de métaphores, a exprimé son scepticisme en affirmant que demander au public de choisir entre des coupes dans les dépenses ou des hausses d'impôts, c’est comme leur demander de choisir entre la peste et le choléra. Les deux options peuvent entraîner une mort lente, et ce n'est pas très engageant pour un référendum, n'est-ce pas ?
Hervé Marseille, président du groupe Union centriste, semble, lui, être tombé dans un pot de miel en proposant que cette initiative revitalise l'engagement civique. « C’est une occasion en or pour les citoyens de se faire entendre », a-t-il affirmé, comme si les Français n'attendaient que cela pour se ruer vers les urnes avec une détermination presque héroïque. Qui aurait cru qu'un budget pourrait être le sujet central d'une saga épique ?
En attendant, les citoyens, qui sont souvent trop occupés à essayer de ne pas se faire écraser par la hausse des prix et les taxes déjà existantes, pourraient demander si leur prochaine étape serait de voter sur la couleur des murs de l'Assemblée nationale. Pourquoi pas ? Après tout, on pourrait tout aussi bien faire de la politique un grand concours de décoration intérieure.
Alors que le gouvernement prévoit de dévoiler ses pistes d'économies autour du 14 juillet, les économistes s'interrogent sur la capacité des Français à prendre les rênes de leurs finances publiques. Un économiste anonyme a averti que, « nous ne sommes pas prêts à voter sur des questions budgétaires complexes », ajoutant que cela pourrait mener à des résultats imprévisibles. Peut-être devrions-nous tous simplement nous asseoir et laisser un robot voter à notre place, ce qui pourrait être plus efficace.
Avant de nous laisser abattre par ce pessimisme ambiant, considérons les implications de ce référendum. Imaginons un instant que les Français se mobilisent, sortent massivement voter et que, dans un élan de lucidité collective, ils choisissent, par exemple, de réduire le budget de la culture pour investir dans les croquettes pour chats. La France, un pays connu pour son amour de l’art et de la gastronomie, pourrait alors se transformer en un grand royaume des félins, où les musées ferment, mais où les rayons de supermarchés débordent de nourritures pour animaux.
Ainsi, alors que le gouvernement essaie de transformer les Français en experts financiers au moyen de référendums, il est légitime de se demander si cette approche n’est pas qu’un simple divertissement, un spectacle médiatique pour faire oublier la véritable tragédie des finances publiques. Qui a besoin de résoudre des problèmes concrets alors qu'on peut se vautrer dans l'absurde ?
En conclusion, alors que François Bayrou rêve d’un budget partagé par tous, peut-être que le meilleur choix serait tout simplement de donner un crayon et une feuille aux citoyens et de leur demander de dessiner leur version idéale des finances publiques. Mais attention, cela pourrait finir par ressembler à un chef-d'œuvre surréaliste où les dépenses sont représentées par des éléphants roses et les recettes par des licornes. Après tout, tant qu’à faire, autant rêver en grand !
Et si cela ne fonctionne pas, un dernier recours pourrait être de demander aux Français s'ils préfèrent une croisière sur un paquebot de luxe ou une vie de labeur pour financer les dépenses publiques. Qui sait ? Le prochain référendum pourrait bien être celui sur la croisière !
Pour plus d'informations sur cette proposition de référendum, consultez Public Sénat.